Le Tchad est également enclavé, ce qui rend le commerce avec ses voisins extrêmement important. Sans chemin de fer et avec peu de rivières, il est fortement dépendant de ses routes. Le Tchad est largement dépendant de ses routes pour exporter des marchandises vers d'autres pays. Actuellement, seules 22% des routes sont pavées, et la qualité de nombre d'entre elles reste douteuse.

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À mesure que l'économie du Tchad se développe et que son réseau de transport devient plus important, il est logique que le pays répare et développe cette infrastructure vitale. Le gouvernement mérite des éloges pour s'être tourné vers la Banque islamique de développement (BID) afin d'obtenir des fonds pour y parvenir.Le Tchad a reçu un financement de la BID pour l'aider à améliorer son réseau routier et ses liaisons de transport, une mesure qui soutiendra le développement économique du pays à l'avenir.

L'état des routes locales est particulièrement préoccupant. La plupart des routes du Tchad sont inutilisables pendant la saison des pluies, ce qui signifie qu'elles sont impraticables toute l'année pour plusieurs municipalités du pays. De nombreuses routes rurales du Tchad ont été conçues sans système de drainage adéquat. Cela les rend inutilisables dès qu'il y a ne serait-ce qu'une petite quantité de pluie.Les routes sont un élément important de la vie au Tchad. Elles facilitent la circulation des personnes, des biens et des informations. Les routes permettent également aux gens d'augmenter leur distance de déplacement, d'accéder aux marchés et d'améliorer leur situation économique. Mais les routes au Tchad sont confrontées à des problèmes majeurs tels que la saison des pluies difficile et les pistes de terre impraticables.

Le projet de route Tchad Massaguet - Tchad Massakory, d'une longueur de 68 km, qui fait partie de l'initiative "Réseau routier du Nord", a été financé par un prêt de la BID de 10,61 millions de dollars (18% du coût total). Le gouvernement tchadien a contribué pour 49,07 millions de dollars (82%) et a supervisé les travaux, qui ont été réalisés par TECAP Sahel.

De plus en plus de véhicules sont sur la route. Ces véhicules transportent des marchandises destinées à être vendues sur les marchés de tout le Tchad, de N'Djamena à Abéché, de Moundou à Sarh. Ces nouvelles routes permettront de faciliter les déplacements vers et depuis les marchés régionaux. Cette expansion des options de transport est une arme à double tranchant pour le Tchad. D'une part, cela signifie que le potentiel commercial du Tchad s'élargit, offrant plus d'options pour les Tchadiens quant aux endroits où ils peuvent aller et ce qu'ils peuvent y obtenir. D'autre part, cela signifie que le simple volume du trafic détériorerait rapidement ces routes si elles ne sont pas correctement entretenues.

Le gouvernement a mis en place un plan à long terme pour assurer l'entretien du réseau routier.

L'entretien du réseau routier du Tchad est une priorité absolue. Le gouvernement veille à ce que les fonds nécessaires à l'entretien soient mis en place grâce à la perception de péages sur les nouvelles routes et d'une taxe sur les carburants.Plusieurs choses doivent être faites pour que les particuliers, les voitures et les camions bénéficient de bonnes conditions de conduite. Il y a beaucoup de routes dans le pays. Par exemple, la réparation des routes est coûteuse. C'est pourquoi le gouvernement a créé une agence spéciale pour effectuer les tâches d'entretien en partenariat avec le secteur privé.

En fin de compte, cependant, il pourrait être difficile pour le gouvernement de trouver les fonds nécessaires pour moderniser son réseau de transport dans un avenir proche. On peut donc se demander si le Tchad peut continuer à se développer, surtout si l'on considère que le gouvernement tire déjà environ 70 % de ses revenus du pétrole.

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